Guérir la dépression

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Sérotonine et Dépression : attention aux fausses informations !

De fausses informations circulent sur la sérotonine et ses conséquences neurochimiques chez les personnes dépressives.

De nombreux articles dans la presse ont souligné le rôle et les liens entre la dépression et la sérotonine. Mais cela a amené un malentendu majeur qui a fait croire à de nombreux dépressifs que le manque de serotonine dans le cerveau est la cause de la dépression.

La sérotonine est un composant chimique qui joue un rôle majeur dans les humeurs et dans de nombreuses maladies psychologiques.

L’erreur induite par cette découverte du lien entre la sérotonine et la dépression est donc de considérer que le manque de sérotonine cause la dépression et que dès lors la solution se trouve dans la prise d’antidépresseurs rétablissant ce niveau de serotonine. Aucune étude n’a démontré que le niveau de sérotonine était inférieur à la normale avant que le sujet ne tombe en dépression. Dès lors aucune étude n’a pu prouver valablement que c’est le manque de sérotonine qui provoque la dépression. Par contre la seule chose que l’on a pu constater est que la dépression s’accompagne d’une baisse du niveau de sérotonine.

La sérotonine aide également à supporter plus facilement la douleur. Dès lors l’abaissement du niveau de sérotonine provoque une augmentation de la perception de la douleur. C’est la raison pour laquelle de nombreux dépressifs ressentent davantage les douleurs comme celles dans le bas du dos par exemple.

La serotonine intervient également dans la régulation du sommeil. Son abaissement contribue à accentuer les problèmes de sommeil et les déséquilibres de sommeil rencontré par les dépressifs.

Tout cela permet d’expliquer pourquoi les personnes qui sont en état de dépression ressentent une amélioration immédiate lorsqu’elles prennent des médicaments antidépresseurs agissant sur le niveau de sérotonine. Le problème est que cela risque de provoquer à terme un état de dépendance par rapport aux antidépresseurs et de nombreux effets secondaires.

Le problème est que la plupart des antidépresseurs agissent en supprimant les phases de sommeil paradoxal. De plus, ce type de traitement revient à traiter un symptôme et pas la cause de ce symptôme qui est un niveau d’émotions négatives supérieur à la normale.

Heureusement, il y a des méthodes naturelles sans anti-dépresseur pour sortir très rapidement de la dépression. Pour les découvrir,  cliquez ici.

La Passiflore, antidépresseur naturel valable ? Ce qu’on vous cache !

La Passiflore est-elle un antidépresseur naturel valable ? Oui mais ! Voici le problème de la passiflore… Vous pourrez lire à gauche et à droite plus ou moins ceci à propos de la passiflore :

« La Passiflore est un antidépresseur naturel également connue sous le nom de fleur de la passion. Egalement efficace contre l’angoisse, les palpitations et l’insomnie, cette plante est très utile aux personnes dépressives. Vous pourrez trouver de la Passiflore en parapharmacie ou en pharmacie. Cette plante très prisée par la phytothérapie est très utile aux personnes dépressives en raison de ses a des propriétés sédatives et calmantes. Elle est souvent tout aussi efficace dans son action sur les neurotransmetteurs que les antidépresseurs de classes ISRS.

De nombreuses études ont été menées à propos de la passiflore. Elles ont amené comme conclusion que la passiflore était un antidépresseur efficace avec comme caractéristique principale, de ne pas être accompagné des effets secondaires classiques des antidépresseurs médicamenteux vendus en pharmacie. »

Oui mais ! Ce que l’on ne vous dit pas ! Le problème de la passiflore…

Malheureusement, même si la passiflore et un traitement « naturels », elle entre néanmoins en interaction négative avec d’autres médicaments comme certains traitements contraceptifs ou encore des anticoagulants. C’est la raison pour laquelle je vous déconseille de ne pas en prendre sans demander conseil à votre médecin si vous suivez également d’autres traitements médicamenteux.

Certaines études ne sont pas arrivée à prouver l’efficacité réelle de la passiflore et s’il s’agissait d’un effet placebo ou d’un effet réel.

Autre point négatif : la passiflore permet de traiter des dépressions très légères mais s’avère totalement inefficace pour agir sur des dépressions plus conséquentes.

De plus personne n’a pu prouver au travers de tests scientifiques si la passiflore était aussi voir plus efficace que les antidépresseurs médicamenteux traditionnels.

L’origine naturelle de la passiflore a rendu ce produit extrêmement populaire. Néanmoins le gros problème de la passiflore tout comme les antidépresseurs chimiques est qu’elle traite les symptômes et non la cause de votre dépression. Dès lors lorsque vous arrêterez d’en prendre, vous risquez de connaître une rechute bien plus grave que ce que vous avez vécu avant de recourir à ce traitement à base de plantes.

Je vous déconseille dès lors de recourir à ce type de traitement car sous son apparence « naturelle », vous risquez néanmoins de connaître de nombreux déboires, que vous ne connaîtriez pas avec une méthode qui ne recourt à aucune substance même naturelle pour soigner, guérir, et éliminer définitivement votre dépression.

C’est ce type de méthode sans apport extérieur et 100 % naturel que j’ai mis au point et qui m’a permis de me guérir très rapidement d’une dépression que je traînais depuis des années.

Cliquez ici pour découvrir ma méthode pour guérir la dépression en quelques jours seulement.

Paroxétine, Dépression et Dépendance. Témoignage d’Aline, 35 ans

ParoxétineLe calvaire de ma dépendance à la Paroxétine. J’ai pensé que je ne pourrais jamais arrêter.

J’ai souffert de nombreux épisodes de dépression durant ma vie. J’ai toujours réussi à m’en sortir. Malheureusement, l’année dernière, je me suis de nouveau sentie en bas de l’échelle. Mon médecin de famille m’a alors prescrit de la Paroxétine.

La descente aux enfers

Le premier jour, j’ai été envahie par des troubles digestifs. Je me suis dit « ce n’est pas grave, ce n’est que passager ». Malheureusement, le jour suivant, j’ai commencé à me sentir très mal, bien plus que ce que j’avais connu dans le passé.

Après quelques jours, j’étais dans un état épouvantable. J’ai ensuite été envahie par des envies de suicide, ce que je n’avais jamais connu auparavant. J’avais d’énormes problèmes de sommeil et n’avait plus du tout envie de manger.

Mon mari qui était très inquiet a rappelé notre médecin. Celui-ci l’a rassuré, lui disant qu’il fallait attendre une dizaine de jours afin que le médicament fasse son effet. Il insista également lourdement pour que je poursuive mon traitement. Pour lui il n’y avait aucun rapport entre mes envies suicidaires, et la Paroxetine. C’était juste un symptôme classique de la dépression, selon lui.

Quand j’ai entendu mon mari me répéter cela, j’étais excédée. J’ai rappelé mon médecin pour lui dire que je n’avais jamais eu de pensées suicidaires auparavant dans ma vie.

Après une dizaine de jours, j’ai décidé d’arrêter de prendre de la Paroxétine. Les effets de cet antidépresseur étaient en effet pires que mon état dépressif. J’étais enfin soulagée. J’étais fatiguée, complètement à plat, mais mes nausées, mes pulsions suicidaires avaient disparu aussi vite qu’elles étaient apparues lorsque j’avais pris ce médicament.

J’ai pris rendez-vous avec mon médecin pour lui raconter cela. Il a réagi assez violemment en me lançant un pathétique : « si vous arrêtez de prendre votre médicament, n’espérez pas aller mieux ». J’étais profondément choquée. Il ne voulait pas croire que la Paroxétine qu’il m’avait prescrite avait provoqué tout cela est aggravé mon état.

Je suis certaine que de nombreux patients ont du vivre la même chose, avec leur médecin.

C’est alors que je me suis orientée vers la recherche d’une solution naturelle et que je suis tombé sur le site de Patrick Gillot. J’ai essayé sa méthode et j’ai été surpris par les résultats très rapides que j’ai obtenus.

Si vous voulez en savoir plus sur sa méthode, cliquez ici

Courage, Aline

Escitalopram Dépression Dépendance. Témoignage de Henri 42 ans

L’enfer de ma dépendance à l’ Escitalopram. J’ai bien cru ne jamais m’en sortir…

EscitalopramSuite à un premier problème de dépression passagère, le médecin m’a prescrit de l’Escitalopram pendant environ six mois. La première fois, cela m’avait retapé et remis sur pied. J’étais motivé pour rechercher du travail, car en effet j’étais au chômage. J’étais en train de retrouver le goût de la vie. Comme tout allait bien, j’ai dès lors décidé d’arrêter ce traitement.

Aujourd’hui je sais que cet arrêt fut une folie car j’ai arrêté du jour au lendemain. En moins de 48 heures, ma dépression est réapparue. Mais en plus, des problèmes physiques inconnus jusqu’alors, ont accompagné celle-ci. J’avais très mal aux articulations, et dans les muscles. Je n’avais pas d’énergie. Tout était embrouillé dans ma tête.

Mon médecin m’a prétendu que cela n’avait rien à voir avec l’arrêt de l’Escitalopram. Il m’a dit que j’avais dû attraper une mauvaise grippe.

J’ai mis plus d’un mois pour me remettre plus ou moins sur pied. J’ai vécu quelques mois moyens dans un état pas trop mauvais mais pas non plus génial. Et ensuite, à l’automne, je me suis remis à tout voir en noir.

Ma femme a alors suggéré que je reprenne de l’Escitalopram. Le médecin, bien entendu, était tout à fait d’accord avec cela. Et j’ai exactement vécu ce que j’avais vécu la première fois. J’ai remonté la pente très très vite je me suis senti bien pendant plusieurs mois.

Après huit mois, j’ai donc décidé de profiter de mes vacances pour arrêter d’en prendre. J’ai alors vécu la même descente aux enfers que la première fois que j’avais décidé d’arrêter mon traitement. Mais cette fois-ci je savais que cela était bel et bien lié à l’arrêt de l’Escitalopram.

Je n’ai pas cherché à me bagarrer avec mon médecin pour savoir qui avait raison car je savais que cela était lié aux antidépresseurs.

Ce fut très dur car j’étais vraiment dans un état très moche. Mais j’étais suffisamment lucide pour savoir qu’il fallait absolument que je trouve une solution naturelle pour pouvoir m’en sortir et ne pas être drogué à vie à l’Escitalopram.

Un ami m’a conseillé la méthode Patrick Gillot. J’étais dubitatif mais tant qu’à faire, autant essayer. L’efficacité et la rapidité de sa méthode m’ont stupéfié. En quelques jours j’ai ressenti une amélioration équivalente à celle que j’avais connue lorsque je prenais de l’Escitalopram mais cette fois-ci, sans rien prendre du tout, pas même un supplément naturel.

J’ai repris goût à la vie et plus jamais je ne ferai l’erreur de m’engouffrer dans une dépendance aux antidépresseurs.

Je dois remercier Patrick Gillot pour avoir mis à la disposition des gens une méthode aussi efficace et aussi simple. Pour en savoir plus, cliquez ici

Je vous souhaite à tous bonne chance.

Henri

Dopamine : baisse inquiétante chez les personnes dépressives…

De fausses informations circulent sur la dopamine et ses conséquences neurochimiques chez les personnes dépressives.

Comme nous l’avons déjà dit, certaines sources prétendent que la dépression est due à un déséquilibre chimique au niveau du cerveau. Ceci n’a jamais été prouvé. C’est néanmoins sur ce postulat que se basent les traitements à base d’antidépresseurs. La dépression s’accompagne de la baisse de certains neurotransmetteurs comme la dopamine, la sérotonine ou la noradrénaline. Mais comme nous l’avons déjà indiqué, un bas niveau de dopamine n’est qu’un symptôme de la dépression et non une cause. Les études ont démontré que plus vous ruminez des idées négatives, moins vous avez d’activité qui donne du plaisir, et plus bas est votre niveau de dopamine. Regardez la dépression comme un déséquilibre chimique et rien d’autre, est le premier obstacle majeur à sa guérison.

La preuve en est que pour un tiers des personnes dépressives, les traitements à base d’antidépresseurs ne marchent pas du tout. De même, les effets secondaires des antidépresseurs sont tels sur toute une partie des patients, que le mal est souvent pire que le gain qu’ils apportent. C’est parce que moi-même j’ai fait les frais des traitements classiques médicamenteux que je suis partisan des méthodes naturelles sans recours aux antidépresseurs. J’ai mis des années à développer ma méthode et j’ai pu ainsi réguler mon niveau de dopamine naturellement.

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Cortisol, les Déprimés présentent un niveau de cortisol anormal !

Attention ! Un haut niveau de cortisol entraîne-t-il automatiquement une dépression nerveuse ?

Vous avez peut-être lu un article dans la presse qui souligne les interactions entre le cortisol et la dépression. Malheureusement ce type d’articles a pour conséquence de mal vous aiguiller en vous faisant croire que l’excès de cortisol dans le cerveau peut être la cause de votre dépression.

La moitié des déprimés présente en effet des niveaux de sécrétion de cortisol anormaux, souvent supérieurs (mais parfois inférieurs) à la normale. Le cortisol est une substance secrétée par la glande surrénale. La sécrétion de cortisol connaît des sommets lorsque vous êtes soumis au stress, à la colère, ou à la peur. De plus le niveau de cortisol connaît de nombreuses fluctuations tout au long de la journée avec un niveau maximal atteint généralement le matin lorsque vous vous réveillez.

Le cortisol est une hormone qui a une importance capitale dans la régulation des humeurs et dès lors qui interfère dans de nombreuses maladies psychologiques.

Le malentendu suscité par la découverte d’une relation entre le niveau de cortisol et la dépression est de croire que un niveau de cortisol élevé serait la cause de votre dépression et que dès lors la solution réside dans le contrôle de votre niveau de cortisol.

En effet, il n’y a aucune étude clinique qui a pu analyser le niveau de cortisol avant et pendant la dépression chez un individu. La seule chose que l’on a constatée et que chez la moitié des dépressifs, on note un niveau de cortisol élevé.

L’augmentation de cortisol entraîne souvent certaines modifications physiques comme une pilosité accrue, une augmentation de la masse graisseuse abdominale une diminution de l’épaisseur de la peau, de l’acné, de l’hypertension artérielle, etc.

Cela permet de comprendre pourquoi des patients atteints de dépression peuvent éprouver une amélioration rapide de leur état lorsqu’ils ont recours à des traitements visant à réguler le niveau de cortisol.

Le problème de ce type de traitement est qu’ils risquent de provoquer un effet de dépendance aux médicaments, qui s’accompagne également de nombreux effets secondaires particulièrement désagréables. De plus recourir à un tel traitement signifie traiter le symptôme et non pas la cause du symptôme qui est la dépression.

La meilleure méthode pour vous soigner est de recourir à un traitement naturel, sans apport médicamenteux qui pourra très très vite vous sortir de la dépression et ramener votre niveau de cortisol à la normale. Une telle méthode existe et a fait ses preuves. Pour en savoir plus, cliquez ici.

Apnée du sommeil & Dépression, l’enfer si vous êtes mal conseillé !

Souffrez-vous d’apnée du sommeil ou du manque de sommeil profond lié à la dépression ? Voici les toutes dernières découvertes scientifiques des problèmes de sommeil liés à la dépression…

Celles-ci concernent le cycle de la dépression et particulièrement le lien qu’il y a entre les rêves, la dépression et la disparition des phases de sommeil profond. Ces découvertes expliquent enfin l’  « inexplicable »…

Ne confondez pas apnee du sommeil et disparition des phases de sommeil profond.

D’abord l’apnée du sommeil, c’est quoi. Les médecins parlent de syndrome d’apnees obstructives du sommeil ou SAOS. Pendant le sommeil, la personne souffrant de SAOS subit un rétrécissement de son pharynx lié à un relâchement musculaire. Cela entraîne une circulation de l’air plus difficile et un ronflement à cause des vibrations de l’air. Si les voies aériennes se ferment complètement, la personne s’arrête temporairement de respirer : elle fait une apnée du sommeil.

Un tel événement peut durer 10 secondes ou plus. Il peut être fréquent et se produire jusqu’à plusieurs centaines de fois par nuit. Le sommeil est perturbé sans que le sujet en ait forcément conscience (éveils brefs après chaque apnée).

Le matin, vous vous sentez fatigué comme si vous n’aviez pas dormi. Si vous souffrez de dépression, vous pouvez ressentir ce même manque de sommeil au réveil. Celui-ci est lié à la disparition de vos phases de sommeil profond. Cela s’explique par le cycle du sommeil et sa perturbation profonde chez les personnes souffrants de dépression (même si ces personnes ne savent pas qu’elles souffrent de dépression).

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Le cercle vicieux de la dépression et ses implications sur le sommeil

Les pensées négatives de type dépressif entraînent des ruminations émotionnelles négatives de plus en plus profondes. Celles-ci à leur tour provoquent une augmentation anormale des rêves et une diminution du sommeil profond. L’état de sommeil profond est une des phases essentielles du sommeil car elle assure la récupération en profondeur de l’individu. Le sommeil déséquilibré de la personne dépressive entraîne un état de fatigue dès le matin. Cet état de fatigue à son tour provoque des idées et des ruminations négatives de type dépressif qui elles-mêmes déséquilibrent encore davantage le sommeil. Et ainsi de suite. Voici comment une personne tombe lentement, mais sûrement, dans le cercle vicieux de la dépression.

La seule façon de mettre fin au cercle vicieux de l’état dépressif est donc de mettre fin aux émotions excessives qui nous envahissent. C’est la raison pour laquelle seule une méthode comme la mienne qui agit directement sur le système limbique peut traiter rapidement une dépression et mettre fin à ces problèmes de sommeil. Mais revenons à l’explication scientifique de ce cycle infernal dans lequel vous pourriez rentrer sans même vous en rendre compte et qui se distingue de l’apnée du sommeil.

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Le rôle du rêve dans la dépression

Le lien entre la dépression et le rêve s’explique par le cycle du stress.

Les émotions provoquées par le stress quotidien débouchent généralement sur une réaction de notre part pour y mettre fin. Le stress sert à mobiliser nos ressources physiques et mentales pour mieux faire face au danger. Sans lui, pas de réflexe de survie, pas d’action. Le stress est sans danger et sans conséquence si, après le danger, le corps revient ensuite à un état d’équilibre, l’homéostasie. C’est ce qui se passe normalement.

Les pensées négatives que nous entretenons lorsque nous sommes dépressifs provoquent des accès émotionnels excessifs et largement supérieurs à la normale. Mais ces émotions ne débouchent sur aucune action ou réaction de notre part.

Dès lors dans le cas de la dépression, les émotions restent bloquées dans le système limbique. La seule solution qu’a dès lors le cerveau pour s’en débarrasser, est de créer des scénarios fictifs et ce généralement durant la nuit. C’est ce que nous appelons les rêves. Les rêves permettent, entre autres, d’éliminer des émotions qui n’ont pas abouti à des actions comme les émotions que la personne dépressive rumine durant sa journée. Imaginons par exemple que vous soyez en train de vous en faire au sujet de critiques qui vous auraient été faites sur votre lieu de travail. La nuit, vous allez sans doute faire un rêve angoissé ayant rapport avec cela. Ce rêve permettra à votre cerveau et plus particulièrement à votre système limbique (le cerveau émotionnel) de terminer sa boucle émotionnelle et d’évacuer une fois pour toute cette émotion en vivant de façon artificielle, sous forme de rêve, une action qui doit clôturer cette émotion et ramener votre corps à un état d’équilibre, l’homéostasie.

Le problème quand vous êtes dans un état de dépression, est que vous passez énormément de temps à ruminer des pensées et des émotions négatives. La seule solution que le cerveau a pour traiter cette quantité anormalement élevée d’émotions non abouties, est d’augmenter les phases du sommeil consacré au rêve. Les phases du sommeil consacré au rêve s’appellent le REM ce qui signifie en anglais « Rapid Eye Movement », ce que nous pouvons traduire par « mouvement rapide des yeux ».

Cette phase de sommeil paradoxal anormalement longue bouleverse l’équilibre et la qualité du sommeil de la personne dépressive.

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Pourquoi est-on tout le temps fatigué ?
Pourquoi notre corps s’affaiblit-il ?
Pourquoi n’a-t-on plus envie de rien ?

Les phases de sommeil paradoxal excessives perturbent complètement notre rythme naturel. En effet le sommeil paradoxal n’est pas une phase de sommeil récupérateur. Le sommeil paradoxal est ainsi nommé car il correspond à une phase dans laquelle nous sommes endormis tout en présentant tous les signes d’une personne éveillée au niveau des réactions du corps. Cela signifie que le corps est en état d’alerte avec un niveau d’adrénaline élevé et des hormones de stress très présentes tout comme lorsque nous sommes éveillés.

Cette phase de sommeil est donc uniquement intéressante pour reposer le cerveau des émotions de la veille, mais ne repose absolument pas notre corps.

Le repos du corps s’obtient dans les phases de sommeil profond. Mais celles-ci sont réduites aux dépens des phases de sommeil paradoxal. C’est la raison pour laquelle souvent les personnes qui sont en état dépressif, ressentent une grande fatigue lors du réveil le matin tout comme les personnes qui souffrent d’apnée du sommeil. Lorsque vous dormez dans un état de sommeil paradoxal excessif, votre corps est alimenté de façon excessive en adrénaline et en hormones de stress. Cela contribue à renforcer  la sensation de fatigue le matin. Mais le cercle vicieux de la mécanique de notre corps est encore plus vicieux que ça. Car même si vous vous sentez fatigué(e) le matin, vous n’arrivez pas à retrouver le sommeil car le corps essaie de s’équilibrer naturellement et vous empêche de vous rendormir afin de vous empêcher de replonger dans une phase de sommeil paradoxal.

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Comment sortir de l’état dépressif

La seule façon de mettre fin au cercle vicieux de l’état dépressif est donc de mettre fin aux émotions excessives qui nous envahissent. C’est la raison pour laquelle ma méthode qui agit directement sur le système limbique est la seule façon valable de traiter rapidement une dépression.

(C’est aussi la raison pour laquelle les thérapies de type verbal, même si elles représentent souvent un exutoire qui permet à la personne qui souffre d’être écouté(e) et de s’exprimer, n’apportent pas de réelle solution à long terme au problème de la dépression.)

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Seroplex, quand vous voudrez arrêter, vous regretterez d’en avoir pris !

seroplex

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Si vous prenez du seroplex, et que vous désirez ne pas tomber dans l’addiction et devoir en consommer pour le restant de votre vie, voici les symptômes que vous risquez malheureusement de vivre lorsque [Lire plus…]

Attention !!! Le Millepertuis, ses effets secondaires, et la dépression…

Le millepertuis ou Hypericum ou Saint John’s Wort est souvent vendu en pharmacie ou en parapharmacie comme substance pour traiter la dépression. On dit que son effet sur les neurotransmetteurs est similaire à celui des antidépresseurs chimiques pharmaceutique de classes ISRS.

Millepertuis, contre indication & effets indésirables

De nombreuses recherches ont été entreprises sur le millepertuis. Elles ont démontré qu’il était efficace comme antidépresseur avec comme corollaire positif, le faite de provoquer nettement moins d’effets secondaires que les antidépresseurs médicamenteux traditionnels. Néanmoins son interaction négative avec d’autres médicaments comme la pilule contraceptive ou encore certains anticoagulants faits qu’il vaut mieux que vous demandez l’avis de votre médecin avant d’en prendre si vous suivez un autre traitement.

Mais plus grave, tout comme les antidépresseurs « chimiques », le millepertuis ne traite que le symptôme et non la cause. Ce n’est donc pas une solution valable sur le long terme, car les risques de rechute sont tout aussi importants que dans le cas d’antidépresseurs médicamenteux.

Si vous voulez sortir des anti-dépresseurs classiques, il y a une solution plus naturelle que le Millepertuis. Une solution facile qui produit un effet immédiat sans prise d’aucune substance même naturelle. Moi je n’y croyais pas avant de …
Cliquez ici pour lire la suite

 

Catégorie : millepertuis bio, perforé, posologie, tisane

Chaque personne vit différemment sa dépression au niveau de ses émotions

Lorsque vous vous sentez malheureux et avez une faible image de vous la plupart du temps, lorsque vous êtes de plus en plus préoccupé(e) par des idées négatives, lorsque vous n’avez plus aucune motivation à faire ce que vous aimez faire et avez l’habitude de faire, lors que vous n’avez pas eu le courage de réaliser quoi que ce soit car tout vous semble une montagne, lorsque votre sommeil devient [Lire plus…]

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